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Les entreprises, le développement économique et l’emploi sont au cœur des priorités de la nouvelle majorité régionale des Pays de la Loire.

La loi du 7 août 2015 portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTRe) confie à la Région le soin d’élaborer un Schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) à échéance du 31 décembre 2016.

Il s’agit d’une démarche essentielle pour développer la compétitivité de cette région et de ses entreprises.

Bruno Retailleau, Président du Conseil régional des Pays de la Loire, a choisi d’associer au maximum les acteurs du territoire qui feront l’économie de demain, et pour cela, de conduire une concertation à double niveau, régionale et dans les territoires.
Elle s’articule en deux temps :

  • une première phase lancée en juin dernier, avec un bureau de la Conférence régionale de l’économie et de l’emploi durables dans une configuration élargie, suivie d’une première phase de concertation à l’échelle départementale de l’ensemble des acteurs territoriaux concernés par le développement économique (Département, Établissements Publics de Coopération Intercommunale, chambres consulaires départementales, technopole, comité d’expansion, agence de développement économique des agglomérations, chefs d’entreprise).
  • une seconde phase, entre le 12 septembre et le 10 octobre, pendant laquelle Bruno Retailleau réunira sur chaque territoire les acteurs concernés et les chefs d’entreprises pour construire l’avenir économique de la région.

Pour préparer cette seconde phase, la Région a mis à disposition des acteurs une plateforme, http://paysdelaloire.strikingly.com/, sur laquelle ils ont la possibilité d’apporter une contribution générique et/ou thématique. Leur contribution porte sur les 8 grandes thématiques identifiées par la Région :

  • Economie locale / Economie de proximité ;
  • Accompagnement et financement de l’entreprise tout au long de sa vie (création, reprise, transmission, retournement, phase de croissance…) ;
  • Simplification de l’accompagnement des entreprises ;
  • Transition énergétique ;
  • Numérisation de l’économie ;
  • Mise en cohérence de l’offre de formation avec les besoins des entreprises ;
  • Innovation ;
  • Internationalisation.

Les contributions peuvent être adressées jusqu’à fin septembre.